La pensée créative et ses complices: l’expérience esthétique de la communauté de recherche en philosophie pour enfants

Il me fait, à nouveau, grand plaisir, de laisser la place à Natalie Fletcher pour le prochain billet portant cette fois sur la dimension créative de la communauté de recherche, notamment par le biais de la pièce de théâtre qui peut être mise en place au terme (mais pas seulement) de la lecture du roman Pixie écrit par M. Lipman.Natalie est la directrice de Brila, un organisme de bienfaisance qui développe la pensée critique, la responsabilité sociale et l’auto-efficacité chez les jeunes par l’entremise de dialogues philosophiques et de projets créatifs sous forme de camps, clubs et ateliers.

Pendant la session d’hiver 2017 et celle de 2018, elle était également en charge du cours Penser par nous-mêmes: parole et silence offert à l’Université Laval. Natalie a alors invité, comme à l’habitude, les étudiant-e-s à vivre l’expérience de la création d’une pièce de théâtre inspirée du roman utilisé dans ce cours.  Et comme à chaque session pendant laquelle est offert ce cours (session hiver), les étudiant-e-s ont grandement apprécié pouvoir vivre cette expérience esthétique qui contribue grandement à comprendre pourquoi la pratique de la philosophie en communauté de recherche dépasse largement le cadre purement critique qu’on attribue habituellement à ceux et celles qui font de la philosophie.

Au terme de cette expérience, Natalie a tenu à consigner le fruit cette expérience dans un petit texte très inspirant.  Pour lire ce texte, cliquer ici.

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